Lors des visites de « culture mobile », les enseignant·e romand·e·s en visite dans les classes zurichoises rendent l’apprentissage du français vivant et authentique en proposant aux élèves un panel d’activités variées qui leur permettent de pratiquer le français tout en découvrant la culture romande. De plus, ces visites agissent tels des déclencheurs d’éventuels projets d’échange et de mobilité.
Avec « culture mobile », vous proposez des leçons interactives et en immersion complète auprès de 2 à 4 classes. Vous disposez d'un dossier pédagogique comprenant une vingtaine d’activités interactives, variées et adaptées aux connaissances des élèves zurichois·e·s. De nombreux documents supplémentaires disponibles sous forme numérique complètent le dossier imprimé. L'approche communicative est au premier plan : les activités suggérées permettent aux élèves de prendre conscience des connaissances linguistiques dont ils·elles disposent déjà et les encouragent à en acquérir de nouvelles. Le plaisir de découvrir la culture romande est un aspect essentiel de « culture mobile ».
Les élèves ne sont pas les seul·e·s à profiter de ce projet pour découvrir la culture et la langue d'une autre région du pays. Vous aussi, en tant qu'enseignant·e, vous pouvez profiter de l'occasion pour nouer de nouveaux contacts en vue d'éventuels projets d'échange et de mobilité ou de partenariats scolaires.
Une journée de formation préparatoire délivre des informations pratiques relatives aux visites dans les établissements zurichois et permet de se familiariser avec le matériel didactique d'accompagnement. La journée de formation continue a lieu à Bienne et offre en outre la possibilité de rencontrer la responsable du projet « culture mobile ». Vous recevrez sur place tous les documents et informations nécessaires.
Chaque journée de visite culture mobile au sein des établissements zurichois est défrayée à hauteur de 500 CHF (tout inclus : frais de déplacement, intervention, restauration …).
Pour toute question et inscription, veuillez vous adresser à Perrine Pardoëns, responsable du projet « culture mobile »: